Je n’ai pas eu le temps de revenir sur mes rencontres à Angers (Libre2lire) et à Reims (rencontres Incos et Défi Babelio). Je répare cela rapidement. C’était toujours pour mon roman #Bleue, qui m’aura beaucoup fait voyager cette année.

Ce furent des rencontres très diversifiées, autant en qualité de rencontres qu’en qualité d’accueil (c’est marrant, l’un va souvent avec l’autre). J’aimerais remercier d’abord mes accompagnatrices dévouées qui m’ont menée en voiture de ci, de là, puis, concernant les rencontres proprement dites, tout particulièrement la documentaliste mais aussi le proviseur du lycée Marc Chagall de Reims qui m’ont reçue comme une reine ! Bon, promis, je ne vais pas réclamer à chaque fois mon petit verre de champagne pendant le repas, ni une discussion passionnante avec un proviseur si cultivé et éclairé en matière d’éducation et de prise en compte de chaque élève ; promis je ne vais pas m’habituer aux cadeaux somptueux tels que celui fait par la prof doc (un assortiment de spécialités de Reims toutes délicieuses)… Et je sais qu’il ne vaut mieux pas que je m’habitue à l’intérêt passionné de cette dernière pour non seulement le roman proposé aux élèves mais aussi le reste de ma bibliographie, à une telle préparation de la salle donc de ma venue (décoration avec des romans tous bleus), aux mises en réseau littéraires passionnantes, bref à un accueil de vraie passionnée du livre qui ne peut que créer de l’attente chez les élèves, et donc laisser augurer d’une excellente rencontre. Et pourtant, c’est bien ainsi que j’imagine un bon prof doc : au moins passionné par les livres, et donc tout heureux de recevoir un auteur (parfois j’ai l’impression qu’on me reçoit juste comme si j’allais parler d’aspirateurs).

Ah sinon, encore un truc dingue (je ne fais pas exprès, je vous assure) : dans cette classe de seconde du lycée Chagall, il y avait un jeune homme en fauteuil roulant, qui m’a immédiatement fait penser à l’Alex du tome 2 de mon Grand Saut (à paraître en septembre). J’engage la discussion avec lui et lui demande son prénom. « Alexandre ».

(Bises à toi, Alex de Reims !)

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