Quand vous vous réveillez le matin en croyant successivement que vous êtes : 1. l’héroïne du roman dont vous avez tant parlé les jours précédents, 2. dans la ville où vous étiez deux jours plus tôt,  3. dans votre propre lit, 4. « mais où je suis, nom d’un chien ?? », 5. ah oui dans un hôtel de Chambéry, 6. « mais je suis qui au fait ? »… C’est qu’il est temps de prendre quelques jours de vacances.

Par chance, la semaine à venir va être assez calme, si ce n’est deux travaux ultra-urgents et un rendez-vous pour des ateliers d’écriture à la rentrée. Tout va bien.

Tout va même très bien puisque cette semaine je suis allée chercher deux prix pour Théa pour l’éternité (c’étaient les prix secrets) :

Le prix des lecteurs du Mans et de la Sarthe

Le prix Garin de Chambéry

… et que j’ai rencontré à l’occasion des lectrices et lecteurs passionnés, ainsi que des organisateurs idem. Merci !

 Nota bene qui n’a rien à voir – ce qui prouve le surmenage : vous avez le droit d’offrir des fleurs à votre maman plein d’autres jours que celui-là, et même de les cueillir vous-mêmes dans les champs sauvages. Si.

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4 Commentaires
  • le buveur d'encre
    26 mai 2014

    Mais tu es grande !

    • florence
      26 mai 2014

      Bah pas beaucoup plus d’un mètre soixante hélas 😉

  • le buveur d'encre
    26 mai 2014

    Bravo, bravo !
    Je suis à fond avec toi dans le bonheur !
    Bises

    Eric

    • florence
      26 mai 2014

      Quand je serai grande j’atteindrai peut-être le même nombre de prix que tu as obtenus pour Le Parloir ! (bravo à toi aussi).