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La mécanique des vagues

de Florence Hinckel

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Houles, mascarets, déferlantes, solitons et vaguelettes d’écriture…

La mécanique des vagues

de Florence Hinckel

U4 ☞

Cliquer sur une couverture pour accéder au résumé et à la revue de presse du tome en question.

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Le dernier tome de la saga Papillon est paru !

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Commentaires Récents

| 15/08/2020 0 h 23 min

Avec plaisir, Pauline !
| 14/08/2020 22 h 01 min

Florence, merci !

A propos de moi

Venez me voir (salons)…

☞ 28-29 nov : Colmar
☞ 2-7 dec : Montreuil
☞ 30-31 janv : Saint-Orens
☞ 29-30 mai : Fismes
☞ 5-6 juin : Narbonne

Sep 3

Voilà, *Comme un homme* paraît aujourd’hui (

Voilà, *Comme un homme* paraît aujourd’hui (en même temps que les 5 autres romans de la collection, tous dans des couleurs et tons bien à eux), et il est temps de vous en parler un peu plus.
Vous avez compris la spécificité de la collection (récits courts qui paraissent simultanément en format papier, numérique et audio), et si je trouve le concept des 3 formats vraiment intéressant, je n’y ai pas pensé une seule seconde en écrivant, parce que je n’étais portée que par une seule idée : pouvoir enfin parler d’un thème si délicat qu’il m’aurait été trop difficile de le porter au long cours, dans un roman de plusieurs centaines de pages.
L’occasion était belle voire unique. Le luxe, total. Luxe de choisir un mélange des genres qui lui non plus n’aurait pas tenu sur le long cours. Car je me suis amusée malgré la gravité du propos (l’amusement en écriture, avec des thèmes plutôt graves, est mon leitmotiv depuis un certain temps : je vous reparlerai de ça avec un roman qui paraîtra chez Nathan l’an prochain, bourré d’ironie froide et de jeu avec un genre en particulier), et le jeu cette fois était de m’approprier les codes du Nature Writing (nature, grands espaces, aventure), pour amener les lecteurs et lectrices sur le terrain d’un thème le plus souvent traité sous la forme intimiste. Parce que je suis assez traumatisée par l’étiquette de « sale petit secret » accolée à ce type de récit intimiste que j’ai adoré lire à une époque de ma vie, et qui m’a beaucoup appris, j’ai voulu attraper ceux qui font preuve d’un tel mépris pour une parole qui cherche à se libérer (et pour celles et ceux qui apprécient de l’écouter). Dans ce récit, la parole est encore entravée, car elle l’est encore souvent hélas, mais le sujet, c’est un regard masculin d’homme en devenir appelé par la vie et l’extérieur sur un drame intérieur qui cloue encore trop de femmes loin de ces fameuses aventures extérieures.
Mais lisez *Comme un homme*, pour vivre tout cela mieux que ce long discours.
Et vive Court Toujours !

(Photo de @lireenlive)

Août 27

SECRET PHOTO 5 (lisez la saga des *faits et gestes

SECRET PHOTO 5 (lisez la saga des *faits et gestes de la famille Papillon* !)
Mais qui est donc ce bébé très érudit de la page 282 (dernière page) ?
Cette toute dernière photo de la saga illustre l'avènement de la photo numérique (toutes celles d'avant sont argentiques) : il s'agit de la descendance des Papillon. Eh oui, ce bébé est celui d'Eva !
Cette petite fille est la première de la 5e génération dont j'ai parlé durant toute cette saga (leurs représentants respectifs : Robert, Rose, Domi, Eva et donc Lucy). Eeeeeeh oui, j'ai effectivement retracé l'histoire d'une famille sur 4 générations, (encore un de mes défis foufous) !
Et alors, qui est donc en vrai ce beau bébé ?
Il se prénomme en réalité Lucie, et j'en suis très très fière, pour la bonne raison qu'il s'agit... de ma fille !
Elle est née en 2001, et regardez sur la deuxième photo comme elle a bien grandi et évolué, depuis sa lecture très personnelle des oeuvres complètes de Charles Schulz !

@casterman_jeunesse @romanscasterman @clemence_bard @celine.charvet @jeanmariedonat

Août 26

SECRET PHOTO 4 (le tome 3 des *faits et gestes de

SECRET PHOTO 4 (le tome 3 des *faits et gestes de la famille Papillon* est en librairie !)
Mais qui sont donc ces papas dans tous leurs états des pages 113 et 114 ?
Dans l’histoire, mon héroïne Eva Papillon ouvre son album photos pour le montrer à Coline Avalanche qui a grandi sans papa. Eva, elle, a grandi sans maman (et il y a une bonne raison à ça, mais lisez la saga pour tout comprendre !). Coline feuillette cet album, émue de s’imaginer ce qu’aurait pu être sa petite enfance avec un papa. Il me fallait donc des photos de papas dans tous leurs états (ce papa étant, si vous avez tout bien suivi, Domi Papillon, le héros de ce tome 3). Et voilà que m’arrivent ces belles photos de papa entouré de plein d'enfants transportés par tous les moyens possibles et imaginables (et hop, dans le coffre ! ah ah toute une époque !) et cette autre très drôle de papa un brin fatigué/épuisé : de beaux cadeaux !
Ces cadeaux furent faits, pour les photos avec plein d'enfants, par la grande et chaleureuse Céline Charvet, directrice éditoriale de Casterman, et pour la photo de papa qui a bien besoin d'une sieste, par une membre de l’équipe Casterman en charge du marketing.
Grand merci à elles deux pour avoir donné corps à un Dominique Papillon devenu adulte et père !

(Une dernière photo mystère demain :-))

@casterman_jeunesse @romanscasterman @celine.charvet @clemence_bard @jeanmariedonat

Août 25

SECRET PHOTO 3 Mais qui sont donc ces drôles d’

SECRET PHOTO 3
Mais qui sont donc ces drôles d’individus à lunettes de la page 265 ?
Dans ce tome 3, j’ai retrouvé avec un immense plaisir mon personnage complètement toqué de grand-oncle Boris. Les mégalomanes m’ont toujours fait rire (tant que leur pouvoir est tout petit), mais lorsqu’ils sont doublés de mythomanie, c’est encore plus drôle ! Les photographies servent à Boris de soit-disant preuves de ses exploits, tous plus incroyables les uns que les autres. Qu’est-ce que je me suis amusée pour les inventer à partir des photos les plus loufoques de la collection de Jean-Marie Donat !
Et puis, parmi les photos qu’on m’a généreusement envoyées suite à mon appel à l’aide pour cause de manque de photos en couleurs, et surtout de photos datant des années 2000, et comportant des enfants, j’ai reçu celle-ci. Ah ah, magnifique, et très début de millénaire, qui plus est !
Pour moi, ces lunettes, cela ne pouvait qu’être un coup de grand-oncle Boris. La légende que vous découvrirez dans le roman m’a été inspirée par la véritable identité des 2 enfants qui y figurent au premier plan (et en vrai, ce ne sont pas des lunettes laveuses de cerveaux, mais des lunettes du futuroscope - quoique, sait-on jamais ce qu’ils manigancent, au futuroscope, hum hum...). Il s’agit (suspense insoutenable...) de... (ah ah vous trépignez, n’est-ce pas)... allez je ne vous fais pas attendre davantage... (ou bien si ?)... bon d’accord, il s’agit de... Tom et Nathan Lévêque !
Mais si, vous savez, Tom et Nathan ! A cet âge ils écumaient déjà en long en large et en travers les allées du salon du livre jeunesse de Montreuil, vous les y avez sûrement croisés si vous y étiez déjà aussi. Aujourd’hui, Tom est blogueur et éditeur en littérature jeunesse, et Nathan est booktubeur et chargé du webmarketing chez Babelio, plateforme des amoureux du livre. Evidemment leurs blogs et booktubes parlent de leur passion à tous deux : la littérature jeunesse ! It makes sense ! Ah là là, cette saga regorge décidément de tiroirs à double fond.
Grand merci à eux deux !
@lavoixdulivre @lecahierdelecturedenathan @casterman_jeunesse @romanscasterman @clemence_bard @jeanmariedonat @celine.charvet

Août 24

SECRET PHOTO 2 des *Succès de Domi* : Mais qui es

SECRET PHOTO 2 des *Succès de Domi* : Mais qui est donc cette petite Daft Punkette trop choupinounette de la page 171 ?
Pour intégrer les photos au texte, 2 mouvements étaient possibles : soit le récit nécessitait une illustration particulière et je cherchais une photo qui convenait, soit je tombais sur une photo si belle/drôle/intrigante qu'elle m'inspirait toute une anecdote, ou bien la création d'un personnage. C'était valable pour la collection de Jean-Marie Donat comme pour les photos dénichées en dehors de la collection.
Cette photo de petite fille énergique et pleine du désir d'avancer, munie d'une classe innée et d'un sens du mystère rare, ne fait pas partie de la collection de Jean-Marie, mais bien des photos ultra-inspirantes.
Dès que j'ai vu cette photo, j'ai voulu l'intégrer dans l'histoire. Elle m'a amenée à ajouter un personnage dans l'anecdote où je raconte le match d'échecs du champion Garri Kasparov avec la machine Deep Blue, en mai 1997. Après recherches, j'ai découvert qu'il avait une petite fille de 4 ans à cette époque, prénommée Polina. Bingo, j'avais mon perso !
J'ai imaginé que Garri Kasparov avait dû emmener Polina avec lui à New York pour combattre Deep Blue. Et qui allait garder la petite pendant ses absences ? Sonia Avalanche, bien sûr ! Tout s'imbriquait parfaitement (j'adore décidément toute la liberté que nous permet la fiction...)
Mais qui est-ce donc, en vrai, cette Daft Punkette d'enfer ??
Comme je vous l'ai expliqué vendredi, j'ai dû chercher des photos couleur en dehors de la collection de Jean-Marie Donat. Après avoir farfouillé dans mes propres archives, j'ai appelé à l'aide mes éditrices. Help !! Ni une ni deux, j'ai reçu de super photos de membres de l'équipe de Casterman, qui ont plongé dans leurs albums de famille rien que pour nos Papillon/Avalanche.
Et parmi ces photos, il y en avait plusieurs généreusement proposées par Clémence Bard, mon éditrice hyper impliquée. TADA, c'est bien elle, la Daft Punkette !
Autres photos : la vraie Polina avec son papa + Kasparov pendant son match avec Deep Blue.)
@clemence_bard
@celine.charvet
@casterman_jeunesse @romanscasterman @jeanmariedonat

Août 21

Secret Photo 1 : mais qui est donc ce petit Robin

Secret Photo 1 : mais qui est donc ce petit Robin des bois ??
En médaillon central des *Succès de Domi*, je voulais un petit garçon qui puisse être Dominique Papillon, le père de l’héroïne Eva. Dominique Papillon est né en 1974, et je savais bien quelles photos il devait avoir dans son album de famille : à peu près les mêmes que dans le mien, puisque je suis née par là, moi aussi. Des photos couleur, donc, encore argentiques évidemment, aux couleurs saturées où domine l’orange. La collection Jean-Marie Donat ne comporte déjà pas beaucoup de photos d’enfants, mais de cette époque-là encore moins. J’en avais repéré une pas mal du tout, mais après beaucoup d’hésitation avec Clémence, l’éditrice, on y a renoncé à cause d’une batte de base-ball à connotation trop agressive pour être exposée en couverture (pas merci *Orange mécanique*, hein !). J’ai quand même utilisé cette photo et vous pouvez l’admirer en page 42 du roman, mais j’étais toujours sans photo centrale !
J’ai pendant des jours erré, âme en peine et en manque d’images, si bien que, résignée, j’ai décidé de chercher dans mon propre stock de photographies familiales. Suite à déménagement puis travaux, le grand carton s’était retrouvé dans l’angle le plus aigü du grenier de notre maison triangulaire où j’ai dû ramper pour l’en extraire tout en luttant avec la poussière, les boules de poils félins, les acariens et les araignées - j’espère que vous mesurez tout mon mérite. Je l’ouvre, et tombe, bim, sur des photos en vrac données ces dernières années par sa mère au père de mes enfants qui se trouve être l’homme de ma vie, et qui en plus la partage (certaines coïncidences sont extraordinaires). Et dès les premières photos regardées distraitement puisque je voulais arriver aux miennes, bam, je tombe sur ce petit Robin des bois formidable. Formidable, oui, parce qu’il ressemblait parfaitement à mon Domi Papillon, futur entomologiste néanmoins désireux d’aventures ! Lunettes + arc = ouaaaais ! Au bout d’environ 1 minute 36 secondes de lutte acharnée, j’ai arraché son accord pour publication.
Et depuis, je ne cesse de m’extasier : non mais cette bouille trop migonne ❤️❤️
@casterman_jeunesse @romanscasterman

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