Poursuivons notre étude de la jumpologie avec Philippe Halsman, photographe portraitiste des années 50. Il s’aperçut que le fait de sauter obligeait ses sujets à ne plus se concentrer sur l’apparence qu’ils voulaient donner ce qui leur donnait une expression différente de leur image publique. Et de fait, c’est génial… et toujours joyeux.