
Avant-hier, j’ai enfin terminé un récit que j’ai entamé il y a plus de 2 ans et dont l’écriture ne fut pas aisée. Ce ne fut pas 2 ans d’écriture en continu, elle fut coupée par celle d’autres récits plus fluides à écrire (La forêt qui dévore, Le brasier, Le filtre). Elle connut des moments de très grosses difficultés, puis d’accélération hantée. Sans doute parce que j’y ai beaucoup parlé de moi, au travers d’un personnage 30 ans plus jeune. Voici un petit texte écrit juste après l’avoir terminé.

