C’est assez magnifique de maîtriser complètement son site et son blog (y’a des retours de plaisir de geek telle que je ne le fus jamais mais que j’effleurai parfois par exemple en voyant s’afficher les milliers de décimales de PI après que mon vieil ordi avait tourné chauffé bruyamment toute une nuit dans ma chambre de cité U – ah souvenir du meilleur de la promo qui en avait trouvé tant qu’il avait tapissé sa chambre entièrement de feuilles A4 remplies de ces fameuses décimales ; y’avait de la poésie là-dedans). Or voilà donc par exemple suis assez fière de mon nuage de mots-clés là voyez à droite, il suffit de cliquer sur un mot et non seulement vous découvrirez ébahi le nombre d’occurences mais en plus les articles qui en parlent s’afficheront, ô miracle, joie, félicité (belle liberté de choisir soi-même les mots-clés pour ses articles, là par exemple pour celui-ci, allez je décide d’y apposer la clé lumière, et toc c’est décidé). Et même si je le désire au lieu du mot commentaires je pourrais afficher traces (j’y ai pensé) ou toute autre bêtise, et pareil pour tout le reste, mais n’oublions pas ici c’est un peu sérieux quand même il s’agit d’un lieu professionnel, hein tout de même. Je me bride mais me réserve pour autre chose, un jour, plus tard, parce que j’y vois là d’immenses possibilités.
Rassurez-vous j’ai quand même pris quelques jours loin de l’ordi, là où les nuages sont véritables, naviguant sur un beau ciel bleu qui n’est pas celui d’un écran. C’était la neige, la luge, la lumière, la sérénité, le repos, l’écoute.
Sms tout de même de mon éditrice au beau milieu des montagnes pour me dire : Clotilde est super ! (Pour ceux qui ont du mal à suivre, il s’agit du tome 7 de La ligne 15). Ouf.
Va falloir maintenant se repencher sur le tome 8 après l’avoir laissé se reposer un peu. Retravail en vue, histoire de gommer toujours, les traces de gros sabots. Finesse, finesse, mes amis. Belle journée à vous.