Dans le journal L’Est Eclair (Libération Champagne), on parle avec chaleur de L’Eté où je suis né, dans Le coin des bouquins :
« Léo, 15 ans, vit avec Claire et Charles, ses parents adoptifs, délicats et aimants.
Né sous X, il ne connaît pas sa mère biologique avec laquelle il dialogue intérieurement depuis toujours. Avec ses copains, les cours au lycée et les motos qu’il customise, sa vie est bien remplie. Lorsqu’arrive l’été avec la fin des cours, Léo rencontre une jeune fille et tombe amoureux. C’est alors que tout son univers bascule. Il ne pense plus qu’à Xavière et sombre dans le désespoir lorsque celle-ci disparaît, sans explications. Puis il comprend que, pour se reconstruire, il a besoin d’affronter le mystère de sa naissance. Il interroge Claire et découvre à la Ddass la lettre que sa mère lui a laissée. Une relation peut commencer. Avec Xavière aussi, qu’il finit par retrouver.
Ce roman court et dense, accessible aux plus jeunes ados, évoque avec humanité, délicatesse et pudeur le sentiment amoureux et la question de la naissance sous X, en la dédramatisant.
Après Les copains, le soleil et Nabila, Florence Hinckel retrouve le ton sensible et spontané qui la caractérise pour offrir aux jeunes lecteurs un roman psychologique tout en délicatesse sur le difficile passage qu’est l’adolescence. Une réussite. »
Chouette !