Retour de Châteauroux où j’ai fait de belles rencontres.
D’abord Marion Muller-Collard, dont j’ai beaucoup aimé le premier roman lu sur place au salon puis dans le train lors du trajet de retour, Prunelle de mes yeux. Lisez-le !
L’une de ces rencontres amicales dont on sait qu’elles n’en resteront pas là. En tout cas, on ne peut que l’espérer.
Et on a beaucoup ri, en compagnie de la pétillante Lénia Major, de Sylvie Chausse, Jean-Louis Le Craver puis Séverine Vidal arrivée le jour suivant (on a failli se croiser, ouf !), ainsi que Noëlle Deffontaine-Chembayi. Les rencontres en classe se sont très bien passées, avec des petits lecteurs très intéressés et intéressants, et maintenant je connais l’Indre sur le bout des doigts, de long en large et en travers 😉
J’ai complètement oublié de prendre la photo de la chambre de l’hôtel, mais sachez qu’on y voyait la gare de Châteauroux, voilà.
Et puis devinez quoi ? Il fait enfin beau dehors. Que faites-vous donc ici devant un écran ? Mais ouste ! Pschittt ! Et sortez lire sur un banc/sur la plage/en haut d’une falaise/ à la terrasse d’un café/ allongés dans l’herbe…