Théa pour l’éternité est actuellement en rupture de stock chez l’éditeur pour une très bonne raison : les représentants canadiens de Syros auprès des libraires ont visiblement flashé et tout raflé ! J’aime les Canadiens ;-). Il est en réimpression et sera à nouveau disponible le 10 septembre. En attendant rassurez-vous, de nombreux libraires français ont quand même eu le temps de s’approvisionner et on le trouve en de nombreux endroits.
Et puis de nouveaux avis sur Théa :
Un très chouette article qui parle des tendances de la rentrée (en littérature jeunesse), et beaucoup de Théa, c’est dans le blog Des ados à la page : « …si Théa pour l’éternité fait parfois froid dans le dos parce qu’il parle de nos sociétés et de leurs dérives, c’est avant tout un roman tourné vers la vitalité, et une superbe histoire d’amour. »
Cet article introduit un adjectif nouveau pour qualifier mon roman : « glaçant ». Brrr…
Yozone (article écrit par Michaël Espinosa, lui-même auteur chez Soon de Syros) : « Florence Hinckel maîtrise bien les questionnements de cette adolescente, qui réagit comme telle à certains moments et qui doit se remettre en question, malgré son jeune âge. »
Le questionnement dans le reste de l’article est intéressant : SF ou pas ? Il est vrai que je me place dans un futur très proche (trop proche pour que cela soit de la science-fiction ?), un futur qui pourrait même advenir dans moins de 10 ans. C’est sans doute pourquoi de nombreux lecteurs qualifient mon roman de « troublant ». Quoi qu’il en soit, Théa est publiée dans une collection clairement SF. Je ne revendique rien de plus, en tout cas aucun terme ni aucun genre. J’aimerais pouvoir juste définir ce roman comme une… fiction spéculative. Bon, de la SF, quoi !
Librairie Récréalivres, au Mans : « Théa pour l’éternité est un roman d’anticipation (ou à peine) qui aborde des questions fondamentales liées à la quête d’identité et à la projection sur les autres de nos désirs cachés et inassouvis… Le travail riche de recherches de l’auteur et ses réflexions nous plongent dans une aventure forte et déroutante. »
Et coup de coeur d’un autre vendeur de la Fnac, cette fois à Metz : « Un roman troublant sur les dérives de la quête de jeunesse éternelle. »
Pascale
7 septembre 2012Moi aussi, j’ai parlé de Théa sur mon blog… Bises, et bravo pour ce chouette roman.