On continue ! Ce salon-ci sera pour moi particulier, parce qu’il aura lieu dans la ville où j’ai grandi. Je découvre, de plus, sur l’affiche, qu’il se situera très précisément dans l’enceinte du collège que j’ai fréquenté ! A mon époque (ho, si éloignée), il s’appelait collège Les Heures Claires. Ce sera l’occasion de mesurer l’épreuve du temps sur les lieux, ainsi que l’épreuve des souvenirs. Contrairement au titre de ce post imaginé rien que pour faire ma maline, bien peu de crimes y furent commis de ma main – à moins que je ne fasse un énorme déni dont la vérité me sautera soudain à la figure quand j’y remettrai les pieds.
Départ demain soir, 2 journées de rencontres, et ensuite dédicaces. Y rencontrerai-je d’anciens copains, d’anciens profs ? Le mystère reste – pour l’instant – entier… Petit espoir : que personne ne me dise « mais tu n’as pas changé ! » (Bon à l’inverse le « je ne t’aurais pas reconnue » n’est pas formidable non plus).
Pascale
18 mai 2011je suis retournée dans mon collège il y a quelques années, invitée par une prof de français qui avait été la mienne, alors qu’elle débutait. Là elle arrivait à la retraite… Peu d’émotions pour moi, les lieux de la mémoire ne coïncident pas forcément avec l’espace réel.