Enfin la douceur des soirs et des astres pleins, comme en un périlleux et fragile équilibre.
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Merci à la talentueuse et jolie Clem (rencontrée à Cherbourg) pour sa chronique sur L’été où je suis né. Je suis heureuse qu’elle ait aimé. C’est sur son blog. Extrait : « C’est avec une facilité déconcertante que Florence Hinckel m’a fait passer du sourire à l’étonnement, des larmes aux yeux à la compassion… J’ai adoré les personnages, j’ai adoré l’écriture de l’auteur, j’ai adoré le déroulement de l’histoire… La fin m’a mis les larmes aux yeux et a failli me faire pleurer. Je ne m’y attendais pas et j’ai été émue… »
Et le site A l’ombre du grand arbre a recensé les valises de l’été idéales.
Nathan a choisi deux romans à embarquer dans sa valise : Quatre filles et un jean et… L’été où je suis né : « Un roman court mais magnifique qui retranscrit bien l’ambiance d’un été, de l’importance que peut prendre cette saison pour un adolescent. Un roman bouleversant sur l’amour, le coup de foudre même, la recherche d’identité, l’adoption. Un petit format à déguster sur la plage. » Grand merci à toi, Nathan !
Quant à la souris jaune, elle a craqué pour Théa pour l’éternité, et je la remercie également pour son billet. Extrait : « le thème de l’immortalité, du vieillissement, des apparences, sont abordés de façon intelligente et sensée ; et évidemment celui des amourettes, et de l’amour profond, y compris à travers le renoncement à l’autre, pour préserver le bonheur de celui/celle qu’on dit aimer… J’aime beaucoup l’avancée des choses, l’emballement du traitement, et le destin de Théa… »
Et toujours sur Les mondes de Clem :
« J’ai adoré le personnage de Théa. Elle change beaucoup d’état d’esprit dans l’avancement de l’histoire, mais elle reste toujours la même : une jeune fille sensible, qui sait ce qu’elle veut mais qui se pose beaucoup de questions sur elle même. J’ai totalement pu m’identifier à elle, en ce qui concerne ses doutes, ses envies… J’ai pu ressentir les évènements avec elle, j’ai vécu son histoire. Comme je me suis facilement identifiée à Théa, j’ai adoré Théo. De par son regard, le/la lecteur/trice ne peut que l’apprécier… J’ai donc été transportée dans l’univers de Théa et avec elle j’ai frissonné, j’ai douté, j’ai aimé, j’ai espéré… »