Le luxe de revoir à Marseille, au Mucem, une exposition vue à Paris l’année précédente, au Grand Palais. Un moment si doux, offert par Depardon. Et ne rien regretter car de nouvelles photos marseillaises en remplacent d’autres. Et scénographie différente, impression de davantage de proximité.
Si à Paris c’étaient les photos de Glasgow qui m’avaient frappée, à Marseille j’ai pu m’attacher à d’autres photos d’enfants du monde, tout aussi belles, plus colorées.
Peu après, passage devant l’école en lisière du Panier, où j’ai enseigné 4 ans – souvenirs en pagaille – et soudain vision de couleurs depardonniennes, hélas mal restituées ici :
Et une fraîcheur toute relative, annonçant timidement Noël, moins en tout cas que les illuminations et le monde dans les rues, en quête du cadeau idéal.