Le soleil se noie. L’incendie se propage. Les lumières de la ville s’allument. Les âmes se réveillent entre les murs, fuguent, et se promènent sur les plages. Le soir est là. La nuit vient. Les songes arrivent. L’inconscient rougeoie. (J’habite dans une petite maison tout là-bas). Partager :Cliquer pour partager sur Mastodon(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquer pour partager sur Bluesky(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur LinkedIn(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquer pour envoyer un lien par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur WhatsApp(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Threads(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Reddit(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Tumblr(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Pinterest(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquer pour partager sur Nextdoor(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Par FH0 Commentaire FH Écrivaine chez Nathan, L'école des loisirs, Syros, Casterman... Articles par FH Vous aimerez sûrement Newsletter d’avril 27 mars 2025 Les cadeaux à soi-même 25 mars 2025 Un « roman féministe », ça existe ? 21 mars 2025 Ma newsletter mensuelle : abonnez-vous ! 14 mars 2025 Journée internationale des femmes et des filles de science 11 février 2025 Exil réseau-sociétal 25 janvier 2025 précédemmentmain dans la main suivant la vie douce Qu'en pensez-vous ? Annuler la réponseVotre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec * Avertissement : ce formulaire peut être utilisé uniquement si JavaScript est activé dans votre navigateur. Δ Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées. Il n'y a pas encore de commentaire.