collection Scripto, éditions Gallimard Jeunesse, 2011
Présentation par l’éditeur :
Léo, quinze ans, vit avec Claire et Charles, ses parents adoptifs, délicats et aimants.
Né sous X, il ne connaît pas sa mère biologique avec laquelle il dialogue intérieurement depuis toujours. Avec ses copains, les cours et les motos qu’il customise, la vie est bien remplie. Lorsqu’arrive l’été avec la fin des cours, Léo rencontre une fille et tombe amoureux. Tout son univers bascule. Il ne pense plus qu’à Xavière et sombre dans le désespoir quand elle disparaît, sans explications. Puis il comprend que pour se construire, il a besoin d’affronter le mystère de sa naissance.
Il interroge Claire et découvre à la DDASS la lettre que sa mère lui a laissée. Une relation peut commencer. Avec Xavière aussi.
L’autrice en quelques mots…
Le ton sensible et spontané, l’écriture agréable et juste d’une autrice confirmée pour parler des adolescents.
Un roman très court, accessible aux plus jeunes ados, qui évoque avec humanité, délicatesse et pudeur le sentiment amoureux et la question de la naissance sous X, en la dédramatisant.
Prix
L’été où je suis né a remporté :
Le prix 2013 du forum Grain de Sel de Salon de Provence
L’été où je suis né est arrivé en 3e place, sur une sélection de 12 titres, au prix littéraire des Romanphiles 2012.
Réactions :
Emissions de radio
« Un texte attachant… Beaucoup de sensibilité… » Emission Brouillon de culture du 17 janvier 2012 (minute 22:35)
Articles de presse
« Un texte très court qui pénètre dans la tête d’un jeune homme en pleine période de questionnement. Et qui culmine par une lettre, d’une très jeune fille à celui qu’elle vient de mettre au monde. L’émotion, vive et forte, vient de ces pages-là… » Sonia Sarfati dans La Presse du 18 avril 2013
« L’auteure… évacue les discours misérabilistes habituels. Elle laisse à son protagoniste la place nécessaire pour construire sa vie, évitant une introspection complaisante. »
revue Lecture Jeune n°140 (jan 2012)
« Le ton utilisé pour décrire la complexité du lien qui nous unit avec nos parents est avant tout juste. Bonne lecture ! »
Citoyen Junior n°14 de novembre 2011 (cliquer pour agrandir la page)
« Après Les copains, le soleil et Nabila, Florence Hinckel retrouve le ton sensible et spontané qui la caractérise pour offrir aux jeunes lecteurs un roman psychologique tout en délicatesse sur le difficile passage qu’est l’adolescence. Une réussite. »
L’Est Eclair du 11 décembre 2011
Livres en écho n°27 : sélection de livres pour adolescents.
La Montagne du du 1er janvier 2020, Des lycéens ont partagé leurs découvertes littéraires : Présentant le livre L’été où je suis né de Florence Hinckel, Pierre a été époustouflant dans son récit : « Ce livre est touchant, intrigant et captivant ; on se rend compte que l’on a de la chance de connaître notre famille quand d’autres souffrent et recherchent leurs parents naturels. »
Articles du Net :
Ce livre fait partie de la sélection de Ricochet : « Un texte court, mais sensible et dense, qui fait entendre la voix d’un adolescent à la fois maladroit et mature, à fleur de peau et lucide (…) Un texte intelligent, tout en délicatesse. » Chronique complète ici
L’été où je suis né est un coup de coeur Fnac : « … Sensible et fin, un roman qui rassure et qui explique que l’abandon d’un bébé, malgré le drame que cela représente pour l’enfant,peut aussi être aussi un acte d’amour. »
« …Un roman intelligent et bref qui saura captiver le lecteur car c’est une histoire dans laquelle on se reconnaît, s’identifie très aisément au fil de la lecture… » Lirado
« Une histoire courte et au style simple et spontané, pouvant être lue aussi bien par des collégiens qu’un public beaucoup plus large, pour la finesse avec laquelle l’auteur dépeint les sentiments du personnage. Un coup de cœur pour ce roman, qui m’a transportée et émue… comme une adolescente ! et qui me donne envie de découvrir d’autres textes de Florence Hinckel. » Le Bateau Livre
« …C’est un roman poignant, prenant, captivant qu’a signé Florence Hinckel. Avec elle on endosse toutes les émotions de son héros et le style emporte l’adhésion. Le ton naturel, les mots enchaînés les uns aux autres, donnent un relief très réaliste à cet ado perdu entre un passé confisqué et un avenir qu’il n’arrive pas à construire. Les fondations retrouvées, lui permettront de retrouver équilibre et sourire. Florence Hinckel évoque avec une plume sensible le choix de la mère et offre un visage lumineux à la relation fille-garçon, tellement délicate à l’age adolescent. Un court roman formidable… » Enfantipages
« A travers ce récit à la première personne -ce qui lui donne un ton de confidence qui touche d’emblée le lecteur- l’auteur décrit avec force les émotions de ce jeune adolescent, Léo, submergé par ses sentiments et son désir de savoir d’où il vient (…) Les mots que la mère biologique a laissés à son fils, avant de l’abandonner, sont tout simplement poignants ; on y découvre le cheminement d’une jeune fille devenue trop tôt mère. » Choisirunlivre
Coup de coeur de la librairie Page d’encre
Coup de coeur de Cible 95 (coopération inter-bibliothèques pour la lecture et son expansion) : « Ce roman sur l’adolescence, loin du pathos, nous montre avec simplicité les premiers émois de Léo, et la quête de son identité. »
« Une source de douceur et de chuchotements bienfaisants au milieu du « beat » ambiant. » La lit Lalère
« Un petit roman qui se lit vite, abordant le thème peu traité dans la littérature adolescente de la naissance sous X… La petite histoire d’amour avec Xavière est touchante… » ptitesouris
« Ce livre parle d’un problème actuel et difficile : la difficulté pour un enfant adopté de se confronter à sa propre histoire, et aussi, il nous montre l’autre côté, à travers la lettre de la mère biologique de Léo : elle y explique ses raisons, ses choix, ce qui l’a conduite à faire ce sacrifice. Un ouvrage intéressant et plein de sensibilité, qui fera réfléchir les plus jeunes sur le sujet. » livres-a-lire
« Belle histoire d’un ado qui a des relations paisibles avec ses parents et bascule dans le monde des adultes en prenant sa vie en main. » Dimension Ados
« J’ai beaucoup aimé cette découverte de l’amour vu par les yeux d’un adolescent. La timidité de la jolie Xavière est toute aussi émouvante et la relation entre Léo et Jason très bien rendue. Les émotions des parents, adoptifs ou génétiques, sont eux aussi tracées tout en subtilité. En bref, j’ai aimé et, en plus, ça se lit en un clin d’oeil ! » Sophie lit
« C’est un livre court et fort qui dévoile avec pudeur la singulière histoire de Léo. Le récit à la première personne permet de suivre au plus près les pensées et les émotions de l’adolescent qui affleurent au fur et à mesure que naît le sentiment amoureux et que la quête de sa mère devient celle de sa propre identité. » Encres Vagabondes
« Un texte sensible où Léo, un adolescent part à la recherche de sa mère et donc de son identité. Le point de vue de la mère est également donné, tout en délicatesse pour expliquer son choix d’abandonner son bébé. On assiste alors à une belle et émouvante compréhension de son fils pour sa mère. Savoir qui il est lui permettra de s’aimer et surtout de ne plus avoir peur d’aimer…. Un joli moment de lecture. » Au pays des livres
« C’est la quête identitaire de Léo, qui, pour pouvoir aimer, devra faire la paix avec les origines de sa naissance. Un roman sensible, nuancé, déchirant de tendresse et de vérité. » Librairie Gallimard de Montréal
« Ce petit roman d’une centaine de pages se lit d’une traite. L’écriture de Florence Hinckel est particulière et décontractée. Le ton employé est tantôt délicat, tantôt spontané ! Ce livre conviendra particulièrement à des adolescents ou à de jeunes adultes… des sujets durs et très forts, qui sont abordés ici avec tendresse et pudeur. » Les lectures de Karine
« …J’ai adoré la fin également, à la fois touchante et émouvante. J’avais même envie de rester encore dans cette atmosphère, d’en savoir plus sur cette mère X… » Les lectures de Liyah
« C’est avec une facilité déconcertante que Florence Hinckel m’a fait passer du sourire à l’étonnement, des larmes aux yeux à la compassion… J’ai adoré les personnages, j’ai adoré l’écriture de l’auteur, j’ai adoré le déroulement de l’histoire… La fin m’a mis les larmes aux yeux et a failli me faire pleurer. Je ne m’y attendais pas et j’ai été émue… » Les mondes de Clem
le site A l’ombre du grand arbre a recensé les valises de l’été idéales. Nathan a choisi deux romans à embarquer dans sa valise : Quatre filles et un jean et… L’été où je suis né : « Un roman court mais magnifique qui retranscrit bien l’ambiance d’un été, de l’importance que peut prendre cette saison pour un adolescent. Un roman bouleversant sur l’amour, le coup de foudre même, la recherche d’identité, l’adoption. Un petit format à déguster sur la plage. »
J’ai bien apprécié ce roman. Tout d’abord j’ai été surpris par la magnifique description des sentiments de l’amour dans cette histoire. J’ai bien aimé aussi quand Léo recherche sa mère de sang pour découvrir qui il est et quand il lit la lettre qu’elle lui a écrite, j’ai trouvé cela touchant et super pour lui. En conclusion je le conseille à tous les lecteurs car moi-même j’avais jamais lu ce style de lecture mais j’ai beaucoup aimé. Coup de coeur d’un lecteur de la médiathèque de Chasseneuil
La douceur des mots de Florence Hinckel met du baume au coeur, des larmes dans les yeux et les pensées en vrac. A l’ombre du grand arbre La douceur des mots de Florence Hinckel met du baume au coeur, des larmes dans les yeux et les pensées en vrac.
De même qu’Hors de moi traite de l’accouchement sous x sans discours d’opinion ou critique, L’été où je suis né évoque l’adoption de manière simple, et c’est ce que le lecteur appréciera : deux romans qui parlent du ressenti humain avant tout, mettant de côté préjugés et discours habituels. Histoires et Gourmanlises
J’ai beaucoup aimé ce roman, écrit avant « Hors de moi » (dans lequel on découvre l’histoire de Sophie, la mère biologique de Léo). Ici, c’est le parcours du jeune homme que l’on suit, ses interrogations, ses doutes… Tout cela est décrit avec beaucoup de délicatesse. Blogamoi
Un bon petit roman, bien écrit et sans rien de gnangnan, avec des personnages à la saveur authentique. Allez vous faire lire
Je conseille vraiment ce roman car il est intéressant et l’histoire est très bien construite. Ce roman s’adresse aux adolescents et adolescentes car ils peuvent mieux s’identifier aux personnages que les adultes mais les adultes peuvent également le lire (9/10) Blaise time
A vous de découvrir cette petite histoire si intense et si touchante qui aborde des thèmes importants de l’adolescence, ainsi que d’autres qui sont moins ordinaires et qui nous intéressent d’autant plus. Je sais maintenant une chose : je dois lire tous les romans de Florence Hinckel qui sont dans ma bibliothèque. Le souffle des mots
Acheter L’été où je suis né
(Vous aurez compris qu’on trouve mon roman dans toutes les librairies, même celles en ligne, mais que je souhaite soutenir en premier lieu les librairies physiques, humaines et indépendantes).