Je DOIS faire un retour sur l’un des meilleurs salons où j’ai eu la chance d’être invitée : la Baie des Livres de Morlaix !
Chers co-auteurs qui m’avez précédée, sachez que j’ai signé une quantité astronomique d’U4.Contagion.
C’est rare de se sentir si bien sur un salon – enfin pour moi c’est rare car la vie de groupe est toujours un peu compliquée le temps de quelques jours et j’ai parfois des envies de retrait sauvage -. A Morlaix non seulement l’équipe de bénévoles est ex-tra-or-di-naire, mais le choix des auteurs invités fut excellent. J’ajoute à l’occasion que j’apprécie les salons où on n’invite pas uniquement ceux qui ont une réputation de fêtards ou de gros rigolos qui vont divertir l’équipe le temps de notre séjour chez eux (oui, j’ai entendu ça plusieurs fois : « oh non pas lui ou elle, il ou elle est sinistre, il n’aime pas faire la fête » – alors que bêtement je pensais que c’était la qualité de nos ouvrages qui primait, voire notre gentillesse, je peux comprendre, mais le reste…). J’ai donc eu le grand plaisir de faire la connaissance de Martin Page (j’ai commencé l’un de ses romans qui m’enthousiasme, je vous en parlerai sous peu), Elodie Nouhen, Mathieu Maudet, Vincent Cuvellier, Jeanne Bocquenet-Carle, et j’ai retrouvé avec un plaisir tout aussi grand Nathalie Novi (même si on eut aimé se parler encore davantage), Cécile Roumiguière, Séverine Vidal, Eric Sanvoisin (et Pascale, bien sûr !)… C’est vraiment agréable de ne pas craindre d’être placé à coté d’un tel ou d’un autre lors des repas – succulents, soit dit en passant ! Chaque côtoiement m’allait, cette fois. Cela valait pour les auteurs, et pour les organisateurs (un coucou à Julia, Hélène, Emma, Françoise, Sébastien, Lus, et tous les autres).
Non, ce n’est pas l’entrée du salon, mais celle du viaduc.
Je salue aussi tous les enfants et jeunes gens rencontrés ainsi que leurs enseignants. Mention spéciale à la talentueuse Salomé qui a gagné le concours de critiques littéraires, qu’elle a choisi de faire sur mon roman La fille qui dort. Un très beau texte, très émouvant…
Aussi, malgré mes 8 heures de trajet, je retournerai volontiers à Morlaix, en prenant quelques jours avant ou après, cette fois, pour visiter cette région que je ne connais pas, mais dont j’apprécie beaucoup les habitants.
Vidal
29 novembre 2016bien d’accord ! C’était bien !
FH
29 novembre 2016Oui !