Oh ce désir de vivre sur une île déserte au moins jusqu’en mars !
Nouvelles guerres d’un autre genre (et ce genre-là c’est le leur), celles d’ici et maintenant, à coups de mots et d’usage immodéré des espaces virtuels.
Trolls obscurs, aux méthodes récurrentes et étudiées pour retourner indéfiniment toujours les mêmes chaussettes aux formes de poissons sans ouïe.
Minorité qui sous de multiples pseudos et via des hérauts politiques à l’honnêteté intellectuelle discutable s’empare d’un espace médiatique plus large en singeant le bon sens et la vertu.
Guerres nouvelles, donc, qui prend la liberté d’expression au dépourvu, et où l’on ne sait plus quelle arme utiliser pour ne pas voir terrassées les valeurs élémentaires de la République, et ne pas laisser l’illusion de masse et d’omerta drainer une masse bien réelle au sentiment d’abandon.
Ou bien soufflé qui va se dégonfler très vite, dès que l’offensive sera finie ?
En attendant, dans cette guerre, et pour filer la métaphore, je me sens personnellement complètement à poil…
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Bonne Saint-Valentin à tous, sinon, hein ! (que celui qui voit un lien entre les deux dernières phrases de cet article soit châtié pour sa perversité !)