Ici (site Livres ouverts), on trouve une belle analyse des Copains, le soleil et Nabila :
« … Grâce à un atelier que son enseignante propose, Azhar développe un intérêt pour le cinéma, sorte de miroir qui l’amène à mieux comprendre sa réalité. Ce court roman psychologique décrit les difficultés d’un jeune immigrant vivant dans le contexte multiethnique de Marseille. Composé de chapitres courts, le récit met en relief les changements positifs que provoque le projet de l’enseignante dans la vie du personnage qui découvre sa valeur et son potentiel propres. Utilisant une langue argotique, le texte expressif rend avec justesse le ton mi-revêche et mi-rêveur du jeune adolescent. Il intègre plusieurs références au monde du cinéma, un autre thème que le roman propose d’explorer. »