Hier fin de mes rencontres dans le cadre du Printemps du livre de Cassis. Un vrai bonheur. Cette fois-ci à Carnoux, débat passionnant à propos de Théa pour l’éternité avec les 4e, et parodie d’émission de télévision avec les 5e, où je côtoyais… J.K. Rowling, mais oui, avec cheveux blonds et accent, tout à fait !
Et j’aime quand j’en arrive à cette phase d’un roman où tout est si évident qu’il faut l’écrire, voilà tout et rien d’autre. C’est étrange comme dans ces cas-là on ne s’embarrasse plus d’aucun doute. Hélas ce miracle ne m’arrive pas assez souvent à mon goût, et quand l’euphorie retombe, les doutes réapparaissent. J’ai aussi, accessoirement, l’air hagard d’une teufeuse sous crack. Il faudrait n’avoir aucune vie sociale à ce moment-là. Je crains toujours que la maîtresse ou un prof ait soudain envie de me parler et ait l’idée de signaler le cas au procureur de la République.
La semaine prochaine début du marathon de déplacements. Je vous tiens au courant au fur et à mesure, bien entendu.
Portez-vous bien !
florence
16 mars 2013Oui c’était très bien préparé. Merci à toi chère Pascale !
Pascale M.
15 mars 2013Ravie de savoir que tes rencontres du Printemps du livre de Cassis étaient chouettes !
florence
15 mars 2013Ah, le no word’s land du milieu de bouquin ! Je viens de le passer (c’était, là, l’euphorie de la fin), et c’était une lutte, un naufrage, un Himalaya. Bon courage à toi aussi, chère Clémentine, il faut tenir bon !
Clémentine B
15 mars 2013Quelle chance! moi je suis pile dans le no man’s land du milieu du livre, plein de doutes et de problèmes et de grrr c’est nul. Mais il faut se forcer car après, quand on arrive vers la fin, tout à coup l’euphorie revient à nouveau… bon courage!