Plein de choses qui arrivent, plein de choses à vous dire, la vie qui palpite ! Allez, tout en vrac.
D’abord un week-end d’une richesse inattendue (même pas eu le temps d’aller écouter Irène Jacob). Les rencontres du vendredi furent magiques. Les élèves du collège Feuchères m’ont ébahie, j’ai adoré débattre avec vous, c’était passionnant. Et l’après-midi au CHU, qu’en dire ?… Je crains ne pouvoir rien en dire en deux mots à peine, alors je m’abstiendrai. Mais j’espère que cette première rencontre ne sera pas la dernière. Et tout au long de cette journée, être accompagnée par des adultes enseignants ou du corps médical si dévoués, lumineux, passionnés, humains, m’a fait un bien extraordinaire. Mon simple merci serait bien dérisoire…
Et lors des dédicaces, grand plaisir de revoir des fidèles enfants ou adultes (Mélanie, Noémie, Bertrand, vous vous reconnaîtrez !). J’étais heureuse de vous revoir. Et tous les autres, nouveaux regards pétillants, j’espère vous revoir aussi.
Et je n’ai pas été déçue dans mes prévisions : j’ai en effet revu et fait la connaissance d’auteurs très sympathiques, voire passionnants. On a bien rigolé, quand même ! Bref, un très bon salon, à l’organisation parfaite. Ça fait vraiment du bien d’être autant chouchoutée, y’a des moments où on en a vraiment besoin.
Acheté et fait dédicacé pour ma fille Le prince des nuages du passionné et passionnant Christophe Galfard, Achile et la rivière, pour mon fils, magnifiquement illustré par la très chouette Ilya Green, très agréable voisine de dédicaces, et encore pour ma fille qui avait adoré son premier thriller, Rêves en noir de ma voisine de l’autre côté : Jo Witek (j’en profite pour adresser un hommage particulier à Jo, auteure talentueuse et personnalité généreuse, qui m’a offert de beaux moments de confiance et d’amitié, et de joie…) Et, non, je n’ai pas acheté de biographie, même si j’ai failli me laisser tenter par le Martin Luther King du grand Alain Foix (et son chapeau), avec qui on a aussi bien ri et bien parlé.
Petite anecdote : appris by himself que dans l’un des tomes du chat Pitre se trouvait le chat de Christian Jolibois (vous savez, l’auteur des p’tites poules, homme très sympathique), oui, le vrai, je veux dire le vrai chat, pas le vrai homme, que Joëlle Passeron a pris comme modèle (le chat) ! Si.
Autres petites choses :
Théa pour l’éternité est sélectionné pour le prix Sainte Beuve des collégiens.
Chronique sympa sur le Chat Beauté, sur le site d’Enfantipages. Et une autre chez Les lectures de Kik. Et on a lu Théa pour l’éternité ici.
Je crois que c’est tout. Des projets qui prennent forme assez sûrement, aussi, mais je vous en parlerai plus tard. En tout cas beaucoup de travail, ce qui n’est pas pour me déplaire. Il suffit de s’y mettre !
Portez-vous bien.