État de solitude retrouvé, et avec elle de profondeur qu’il faut maîtriser. Se méfier de cette profondeur qui peut s’enfoncer jusque dans les gouffres, desquels on peut avoir du mal à remonter. On y est étrangement bien, et je sais qu’alors mon regard est flou.
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Question étrange : vous avez donc toujours de l’inspiration ?
Il faut bien expirer autant.
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L’espèce particulière d’inspiration avec laquelle, en homme le plus heureux et le plus malheureux, je vais dormir maintenant à deux heures du matin (elle va peut-être, si j’en supporte seulement la pensée, rester, car elle est supérieure à toutes celles qui l’ont précédée) est celle grâce à laquelle je peux tout, pas seulement dans le cadre d’un travail précis. Si j’écris une phrase au hasard, p.e. Il regardait par la fenêtre elle est déjà parfaite.
F.K., 1911
Qu'en pensez-vous ?