Je continue ma déambulation estivale, cette fenêtre ouverte dans la maison de mon blog. Que l’on ne s’y trompe pas, si j’évoque d’autres arts, c’est toujours une réflexion littéraire. Il s’agit toujours de s’adresser au monde et à soi-même tout à la fois. Comment s’y prennent les autres ? Qu’est-ce qui est le plus touchant ? Plus qu’une déambulation, ne serait-ce pas une quête ?
En peinture, cette fois-ci, voici des autoportraits, intenses et étonnants :

1595, Esther Inglis Kello

1904, Marie Laurencin

1912, Helene Schjerfbeck

1913, Laura Knight

1923, Annie-Hilda Carline

1924, Andree Bosquet

1927, Sarah Afonso

1928, Angeles Santos Torroella

1928, Maria-Magdalena Maggie Laubser

1932-33, Charley Toorop

1885, Berthe Morisot
Et ma préférée, Frida Kahlo :

1947

Ici il ne s’agit que de son deuxième tableau, elle avait 19 ans.
« Le surréalisme est la surprise magique de trouver un lion dans un placard, là où on était sûr de trouver des chemises. » Frida Kahlo







