Un regret. On a enlevé le piano à disposition de tous, à la gare Saint Charles (pas une seule fois où j’y suis allée, et j’y vais souvent, où je n’ai pas entendu quelqu’un y jouer vraiment très bien, et des attroupements très sympathiques s’y créer autour).
Une absurdité. Un site au titre contenant pour tous et famille qualifie ma série Ligne 15 (bientôt rééditée sous le titre Quatre filles et quatre garçons) de « journaux intimes apocryphes », ce qui, je l’avoue, m’a fait rire.
Une gourmandise. Les oranges sanguines sont délicieuses en ce moment.
Un agacement. Et si on parlait davantage du taux d’abstention que de la montée d’un parti qui en résulte de façon purement mathématique ?
Une phrase retenue : « on devrait toujours penser à Balzac quand on retire de l’argent au distributeur ».
Par la fenêtre. Je m’attends à entendre bêler les moutons de la mer.
D’un monde à l’autre. Hier j’ai écrit une scène très marquante et au retour de l’école mon fils a dû me répéter cinq fois qu’il avait envie d’une tartelette aux framboises/ de faire pipi / qu’il avait mis le feu à l’école / que les extra-terrestres avaient débarqué dans la cour. Oui mon chéri, ai-je fini par répondre à tout, comme quoi je ne suis pas tant à l’ouest que ça…
Magali
26 mars 2014Je te rejoins à propos du piano…quel dommage !
florence
27 mars 2014Oui, j’espère qu’ils vont le remettre…