Merci à la bibliothécaire de Ribiers près de Sisteron (où, coincidence car cela n’avait rien à voir avec mes bouquins, je viens de passer deux jours enchantés chez un ami qui vit dans une toute petite maison dans un paysage de montagne splendide, au milieu des pommiers sans pomme en cette saison, mais avec un piano – Gaveau 1912- chantant toute l’année), qui a été la première à signaler à l’ami en question qui ensuite se débrouilla pour me le signaler (signaux de fumée) la sortie de Dazibao numéro 35, revue professionnelle de l’Agence Régionale du livre PACA, avec un portrait de votre serviteuse à la toute dernière page.

C’est le jeu des interviews, les interviewers (grand merci à Claire Castan et sa collègue !) ne peuvent pas se souvenir de tout très exactement, et quelques petites exactitudes se sont glissées dans l’article, rien de grave. Je me permets cependant de les rectifier ici :

– Je n’ai pas abandonné Maths Sup deux fois, point trop n’en faut, mais une seule fois, ce qui est bien suffisant pour ne pas avoir envie de recommencer. Même que c’était au lycée Thiers de Marseille qui continue de m’impressionner drôlement quand je passe devant. Par contre j’ai abandonné aussi Lettres Sup (hypokhâgne) que j’ai tenté dans la foulée quelques jours plus tard, ça oui, d’où la confusion. Bref, je n’étais pas vraiment préparée aux écoles préparatoires 😉 (Je me souviens m’être dit : bon sang, est-ce bien ainsi que tu veux passer tes 17, 18, 19 ans, etc… ? Mais j’admire ceux qui tiennent bon, hein, tenez bon !)

– Je n’ai pas quitté l’enseignement définitivement. Je suis juste en disponibilité, ce qui me permet de reprendre si je le désire. Et comme il ne faut jamais dire fontaine, etc, etc…

– Et bon, détail numérique : c’est moins d’une trentaine d’ouvrages que j’ai publiés pour l’instant (28 dont 2 en presse, 1 épuisé, le même réédité ailleurs, et 2 dont j’ai récupéré les droits et dont il n’y a plus aucune trace sur ce site puisque je ne veux plus en faire aucune promotion, mais c’est vrai 3 encore à paraître dans l’année 2013, dont un en presse, ce qui portera à 31, enfin je crois, tout ça devient très confus et à vrai dire on s’en moque…). Bon et puis certaines de ces publications ont eu un retentissement tout à fait insignifiant, si bien qu’il me paraît inutile de les comptabiliser dans ma bibliographie, en tout cas elles font partie de mon cheminement.

Et enfin juste une précision : certains projets sont très loin de se concrétiser, voire vont se casser la figure très rapidement, mais c’est ça qu’est chouette dans les projets, ne pas savoir s’ils se feront, sinon pourquoi en élaborer ?

Voici l’article, ô curieux, que vous pouvez lire et zoomer en grand format si vous cliquez dessus :

 

 

Qu'en pensez-vous ?

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Il n'y a pas encore de commentaire.