Deux nouvelles chroniques à propos de Théa pour l’éternité :

 

Sylly’s mind : « Un livre que je vous conseille véritablement. Il m’a bouleversée. Particulièrement la fin d’ailleurs qui était vraiment émouvante… En fait, j’ai littéralement craqué à la fin pour être honnête, j’ai fondu en larmes, déroutée par le flots des émotions qui m’ont traversée au fil du roman malgré une espèce de distance analytique sur un sujet traitant d’une actualité brulante. »

S’il était encore une fois : « A travers son roman, Florence Hinckel aborde la question au centre de notre société : l’apparence. Paradoxalement, dans un monde où  l’on veut le plus rapidement être autorisé à tout, à aller toujours plus vite, on veut aussi arrêter le temps, le figer, et que tout soit aussi beau que dans l’enfance. »

Merci infiniment…

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Et hier soir c’était encore chocolat chaud sur la plage (et crêpes à la crème de marron), cette fois à Cassis. Se lasse-t-on de l’hiver à la mer ? En tout cas jamais de ces soirées aux couleurs et lumières jamais semblables, toujours changeantes.

(Quant aux courbes étrangement changeantes des lignes d’horizon, la faute unique à mon appareil photo de téléphone portable un brin porté sur le surréalisme)

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