Imagier (choisi) de ces derniers jours, qui furent d’abord amicaux, puis recueillis :
(Je suis athée pourtant la vue d’une bible ouverte m’émeut…
… car des humains ont cessé là une activité de lecture et d’écoute, qu’ils vont reprendre bientôt.)
(Les opinions divergent, pourtant ces vitraux-ci me paraissent parfaitement à leur place, et me touchent au-delà de la raison…)
(L’émotion est décuplée quand, le soir venu, au son de l’orgue et de la trompette, ils prennent des teintes bleutées)
——-
Discussion durant le trajet de retour :
– Machine, elle est allée déjà six fois à DisneyLand. Elle y est retournée ce week-end. C’est parce que sa mère adore DisneyLand.
– Désolée, toi, ta mère elle adore des trucs comme Conques.
– Ouais, mais non, ça va, c’était chouette Conques. Même si moi les vitraux je les ai aimés que de nuit…
——
Livre lu :
Impertinent, scandaleux, hypocrite, méprisant, méchant, en un mot : très drôle. Ou comment voir avec un oeil aiguisé le monde des prix littéraires, vu de l’intérieur, en quelques nouvelles ciselées comme des diamants noirs. Brillamment fangeux…
florence
11 mai 2013Madame Marion, que vous répondre, sinon que je me sens davantage Miss Toc que Miss Tic ? Même pas un brin, ni une tige de tomate (nous aussi on en a planté par ici, dans un endroit qu’est même pas à nous, mais chttt), et même que c’était dans mon tee-shirt trop beau de chez Camaïeu et que j’ai pensé à toi, du coup. Les prix littéraires jeunesse, trop bête de pas les gagner, c’est presque comme un cadeau de fête des mères (genre collier de nouilles), mais on pourrait aussi en faire un bouquin ! Bises à toi et à tes petits Mickeys même si je les connais pas 🙂
marion muller-colard
11 mai 2013vous ne seriez pas un brin mystique, Madame Florence ? je partage ton avis :sur les vitrauxsur Disneylandsur les tee-shirts de chez Camaieuxmoi j’ai planté des tomates, faute d’avoir gagné le prix littéraire du Bessin pour lequel je me déplace pourtant mercredi…