Le temps, le temps, je cours après le temps.
Vite, vite, rattraper les belles choses !
D’abord Renversante tourne tourne et tourne en Saône-et-Loire. 136 représentations à venir en collèges, après une tournée en école primaire, 1400 livres distribués… Cela donne le vertige ! Grand merci à Léna Bréban qui a adapté mon livre et au Département pour soutenir cette tournée. Tout bientôt j’irai assister à l’une des représentations, en compagnie de mon éditrice. Quelle géniale aventure !
Sinon, manquant à tous mes devoirs, je n’ai même pas signalé ici la parution de l’anthologie co-éditée par Syros et La Cité des Sciences et de l’Industrie : Renaissances ! Avec notamment (pour celles/ceux dont je suis le plus proche) : Nadia Coste, Nathalie Stragier et Yves Grevet.
J’ai pour ma part écrit La ferme au chapeau vert, un thriller pro-« ce serait tout de même beaucoup mieux de trouver les moyens d’éviter l’effondrement » 😉
Dans les chouettes nouvelles à venir, il y a un roman que je qualifierais de « brûlant » dans tous les sens du terme qui paraîtra en septembre prochain chez Nathan, et évidemment j’ai hâte d’avoir vos retours. Pour l’instant on peaufine la couv et tous ces détails que j’adore car ce sont les preuves que le roman va bientôt vivre sa propre vie.
Il y a aussi quelque chose qui avance dans le domaine de l’audiovisuel mais tout est si incertain dans ce domaine-là que je ne fais que croiser les doigts. Hope hope hope.
Et j’avance bien sûr sur d’autres fronts. Je suis plongée dans une histoire de voyage lointain, et j’ai 3 autres projets très différents auxquels je cogite…
Malgré toute cette effervescence, pourquoi ai-je le sentiment de faire du sur-place ? Ah oui, c’est vrai, le couvre-feu, voir moins les amis, toutes ces belles choses en moins qui donnent l’impression que le monde tourne à vitesse d’escargot alors que le temps passe quand même vite, vite, vite, et nous passe entre les doigts.
Chaque ligne écrite est une ancre.
Par FH
