Merci à Liyah qui a lu et aimé L’été où je suis né. Chronique complète ici.

« …J’ai adoré la fin également, à la fois touchante et émouvante. J’avais même envie de rester encore dans cette atmosphère, d’en savoir plus sur cette mère X… »

C’est drôle cette chronique pile au moment où je repensais à cette fameuse mère. Car il m’arrive assez souvent de penser à mes personnages. Je m’aperçois que j’ai autant de mal à les quitter que les vrais gens de la vraie vie ! Peut-être que je ne les quitte jamais.

Je pense aussi assez souvent aux lieux que j’ai imaginés. Dans L’été où je suis né, LE lieu important et auquel je pense souvent est une rivière imaginaire que j’ai située dans l’Aveyron parce que là-bas y’a des rivières et c’est la seule raison. C’est marrant comme ce lieu est bien net dans ma tête, alors qu’il ne correspond à rien de réel. En tout cas il a été le seul point de départ de cette histoire, qui ne s’est construite qu’autour de ce lieu. Certains tableaux de Monet s’en rapprochent pas mal. Monet est l’un des rares peintres à avoir trouvé les fleuves et rivières aussi changeants que la mer.

 

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