Parution aujourd’hui de *L’aube est bleue sur Mars*, aux éditions Nathan (Regardez-moi cette beauté de couverture concoctée par Nicolas Vesin : merci à lui ! – pour mémoire il avait déjà commis les couvertures des U4).


*L’aube est bleue sur Mars* : un roman que je ne pourrai empêcher personne de qualifier de SF mais qui pour moi est infiniment contemporain (oui, je sais qu’on n’a pas encore mis le pied sur Mars mais c’est imminent, vous allez voir, et tout ce que je raconte par ailleurs est réaliste).

Un roman pour lequel j’ai découvert avec stupeur que quelques premiers lecteurs et premières lectrices parlaient de « romance » alors que je fais juste évoluer deux personnages qui s’aiment, certes, et ce lien existe pour mieux mettre en valeur l’extraordinaire qu’ils vivent tous les deux et leurs aspirations pas si contraires qu’eux-mêmes le croient, mais si vous cherchez à avoir le coeur qui fait du boum-boum amoureux, pas sûre que vous y trouviez votre compte, parce que j’ai cherché entre eux une tension plus philosophique que physique (normal, puisque des millions de kilomètres les séparent très rapidement ;-)). 

J’arrête de vous expliquer ce que pour moi ce roman n’est pas, pour vous dire enfin ce que selon moi il est : un récit d’aventures psychologique et philosophique, donc (ça fait pompeux, hein !), hommage à tous les rêves d’évasion spatiale que j’avais enfant, avec les dangers excitants que ça comporte, et où la véritable tension se situe dans ce questionnement « Décroître signifie-t-il cesser de croître ? »

Bon j’arrête d’être bavarde, et je vous laisse avec la possibilité d’embarquer avec Esther, mon héroïne, pour un voyage au trèèèès long cours.
Bonne lecture !

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