Beaucoup de choses à vous dire aujourd’hui.

D’abord merci à Cathy Ytak, auteur jeunesse (super sympathique), mais aussi traductrice, qui m’a envoyé un gentil mail pour m’informer qu’elle aussi a fait une rencontre avec le mot tarabiscoté ! Elle le raconte ici.

———-

Je suis donc de retour d’Andorre. Séjour très riche (mais non, pas parce qu’il s’agit d’un paradis fiscal, je parle sur le plan humain, moi, enfin !), qu’il est plus facile de relater en images. D’abord la vue de l’appartement où vit l’amie qui m’a hébergée (c’était bien, merci merci !! Papotages’n co…) :

Là-bas, ils parlent majoritairement catalan, et c’est beau. Sur la photo ci-dessous, est inscrit « je t’aime beaucoup, Xiki. » (Prononcer Chiki, et d’ailleurs c’est marrant ma Xavière de L’été où je suis né, dans leur bouche s’appelait Chavière – perturbés car pour eux c’est un prénom de garçon). Souvenir aussi de ce moment où je suis entrée dans une petite église romane, où le curé faisait réciter la messe à quatre enfants, en catalan. C’était chantant, c’était magique.

Dans l’un des établissements, les objets perdus étaient scotchés à la vitrine de l’accueil. Leur inventaire m’a amusée : une petite voiture, un tube de rouge à lèvres, une croix en or, deux clés, un bracelet.

Mes rencontres ont eu lieu dans les trois systèmes scolaires : andorran, espagnol (où on parle castillan), et français. Ce n’était pas toujours facile car la maîtrise du français n’était pas évidente. Mais tous ont fait l’effort de lire au moins l’un de mes livres donc bravo ! C’était souvent L’été où je suis né. Certains établissements étaient religieux. Dans celui-ci (photo ci-dessous), il m’a fallu oublier le décor dans mon dos pour ne pas avoir l’impression de faire la messe. Détail amusant : L’annonciation de Léonard de Vinci est ici un immense puzzle fait de minuscules pièces. Heureuse de l’avoir vu en vrai à Florence !

Autres petites anecdotes. D’abord merci à Cristina (chargée des relations entre écoles, au ministère de l’Education) qui s’est si bien occupée de moi durant tout ce temps, en plus de mon amie Karine. Elle m’a gentiment fait visiter ancien et nouveau parlements. Une fois dans le nouveau parlement, surgissent deux hommes qui lui font la bise, me serrent la main. L’un d’eux me dit combien il est honoré de ma visite en Andorre. C’était le chef du gouvernement, le second était le chef du parlement. C’est un si petit pays qu’il n’est pas rare de les croiser ! En outre, juste pour jouer à l’importante, sachez que j’ai été menée à la gare par un chauffeur très gentil, en Mercedes !

Allez, dernière petite chose rigolote pour clore mon séjour. Durant tout le trajet du retour, je me suis sentie observée :

———

Et puis : Ici, et , et encore on parle de Théa pour l’éternité. Là, du Chat Beauté, de façon enthousiaste, chouette !  Ici, très brièvement mais quand même, de La fille qui dort.

Ici, retour sur ma visite à Gardanne.

Et dans la SEGPA du collège Paul Fort à Reims, où les élèves ont fait une très belle et courageuse prestation autour de Les copains, le soleil et Nabila. Merci !

 

 

Qu'en pensez-vous ?

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

4 Commentaires
  • florence
    14 avril 2013

    Merci Carla, pour moi aussi c’était génial !

  • Carla
    14 avril 2013

    Salut, ça etait geniale votre visite en Andorre, je suis une des filles doncs vous avez món ecole, un bisou. Merci. On vous atend pour un autre fois.Chao.

  • florence
    14 avril 2013

    Je l’ai compris au regard fasciné du chien, dans le train !

  • Pascale M.
    14 avril 2013

    Dis donc, tu deviens très VIP !