ce que l’on voit

Ce matin le temps est comme cela.

Ce n’est pas la vue de chez moi (il ne faut pas exagérer), mais c’est ce que je longe au retour de l’école de mon fils.

C’est inlassablement beau, quel que soit le temps.

C’est inlassablement différent, toujours, chaque jour.

Et c’est apaisant de voir le temps mille fois plus changeant que le cœur des hommes.

Souvent des échanges de couleurs, de lumière ou de clair-obscur se font entre la mer, le ciel, et moi. C’est bon aussi de se laisser couler dans le hasard du temps, sans rien écouter d’autre.

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Oh, de ma fenêtre, si l’on se penche, voici ce que l’on voit :