A nouveau une très jolie critique de L’été où je suis né, cette fois par un membre de l’équipe de Choisirunlivre, que je remercie :

« Ce petit roman broché dévoile un parcours individuel marqué par une absence : un abandon qui, telle une véritable plaie, semble ne pas vouloir cicatriser. A travers ce récit à la première personne -ce qui lui donne un ton de confidence qui touche d’emblée le lecteur- l’auteur décrit avec force les émotions de ce jeune adolescent, Léo, submergé par ses sentiments et son désir de savoir d’où il vient. Cette lettre « X » – également initiale du prénom de Xavière- sonne et résonne sans cesse dans la vie du héros ; elle semble marteler l’existence de l’adolescent jusqu’à ce que la révélation arrive enfin : X devient désormais Sophie et peut alors laisser à Xavière la part qui lui revient. Les mots que la mère biologique a laissés à son fils, avant de l’abandonner, sont tout simplement poignants ; on y découvre le cheminement d’une jeune fille devenue trop tôt mère. Une histoire douce-amère qui dévoile, dans un style fluide, une tranche de vie oscillant entre fantasme et réalité. »

 

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4 Commentaires
  • Gaël
    9 novembre 2011

    Bah, on se rattrapera à Montreuil, je fais déjà des économies ;)En espérant t’y croiser…

  • Gaël
    8 novembre 2011

    Ça c’est une belle critique! Je crois que j’ai plusieurs wagons de retard dans tes œuvres. Tu es trop prolifique (ou moi trop lent). Bravo en tous cas.

    • florence
      8 novembre 2011

      Merci Gaël. Bah t’inquiète ça va se calmer les parutions, là ! Et moi aussi j’ai deux trains de retard sur tes bouquins, argh.