L’invraisemblance est totale (à moins de réussir à se persuader qu’il s’agit d’un conte de fée, sans fée). Le scénario a été plus que bâclé, et c’est d’un mépris exaspérant pour le public visé : les enfants. Mais on peut le voir pour deux raisons : d’abord si l’on veut comprendre les ficelles grosses comme des câbles qui font qu’un mélodrame parvient à nous kidnapper (et il y parvient), ensuite pour quelques jolies scènes musicales, comme celle-ci :

Cela s’appelle du slap guitar. Une sorte de August Rush, bien réel celui-là, et pas bien vieux non plus, a été vu, et entendu, dans les rues de Sydney :

 

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